La chanteuse haïtienne Fatima Altieri a dévoilé le lundi 25 novembre 2024 le clip du titre, “Hello”, une vidéo qui suscite déjà un vif intérêt sur les réseaux sociaux. En moins de 24 heures, la vidéo réalisée par Abdias Laguerre a enregistré plus de 250 000 vues sur YouTube, attirant ainsi l’attention de nombreux internautes.
Dans ce clip, Fatima opte pour une tenue simple mais marquante : une blouse blanche, une jupe rouge et des bottes assorties. Le décor minimaliste permet de focaliser l’attention sur l’artiste, qui semble délivrer un message direct, porté par la force de ses paroles et sa présence à l’écran.
Le thème de “Hello” tourne autour de la quête amoureuse, un appel lancé à l’être capable de répondre à ses attentes. Cette dimension du clip est accentuée par la présence de l’acteur américain Robert Richardson, connu pour ses rôles dans des séries comme Vampire Diaries et Empire. Sa participation ajoute une dimension surprenante à la vidéo et intrigue les fans.
La chanson “Hello”, issue du nouvel album de Fatima, “Pwoteje m”, traite de sujets à la fois personnels et universels. À travers ses paroles, Fatima explore les difficultés de trouver un amour sincère, tout en faisant écho aux épreuves des relations passées. Ses mots, “Hello Hello ! kote ou ye ? Tande bri ti kè m k ap chèche ou. Hello Hello ! kote ou ye ? Kè mwen pran twòp tan pou l retwouve ou”, traduisent à la fois les déceptions sentimentales et l’espoir d’un renouveau.
L’artiste n’hésite pas à exprimer la fatigue liée aux désillusions amoureuses, évoquant des blessures et des larmes, tout en laissant entrevoir une ouverture vers une rencontre future. Ce regard sur les complexités des relations, tout en restant optimiste, semble toucher un large public, qui se reconnaît dans ces questionnements.
Quelques jours après la sortie de l’album, “Hello” totalisait déjà plus de 300 000 écoutes sur YouTube. Un véritable succès pour Fatima, qui confirme l’impact de cette chanson dans son nouvel album, une œuvre qui aborde les défis des relations amoureuses tout en maintenant une lueur d’espoir.
Regardez la vidéo ci-dessous
Par Ravensley Boisrond, éditeur en chef de Chokarella