Des choses étonnantes à
propos de Spider-Man est que vous
ne voyez pas la couleur de la peau
lorsqu’il est en costume. Vous ne
voyez aucune croyance religieuse,
un héros est un héros, que vous
soyez un homme, une femme, gay
lesbienne, hétéro, noir, blanc ou
rouge partout- peu importe.
Andrew Garfield
C’est quoi la communauté LGBT ?
La communauté LGBT regroupe les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et Trans. C’est un sigle qui peut varier tant parce que les identités de genre se multiplient de jour en jour. Si l’hétérosexualité est
considérée normale, les autres orientations sexuelles jusqu’à ce jour sont vues comme des maladies mentales. Nous retrouvons des militants qui s’investissent entièrement pour crier à qui veut
l’entendre, qu’être différent n’est pas une pathologie mais un mode de vie parmi tant d’autres.
L’ inclusion de la communauté LGBT au cinéma.
Au 21 ème siècle par rapport au “wokisme”,les sociétés de production de films dans l’intention de
faire progresser le business, ils intègrent des personnages LGBT dans les films et pour aller plus loin même les films pour enfants ont une kyrielle de remakes qui modifient l’idéologie de la binarité de
genre. Certes, la communauté a ce besoin de laisser le stade de la marginalisation, toutefois la représentation des LGBT se fait au premier abord parce qu’il y a une pression de la part des lobbies LGBT. D’autre part, il existe ce besoin de conquérir plus de publics dans un objectif purement pécuniaire. Les trans, les gays ou encore les lesbiennes sont souvent des personnages dans des rôles biaisés. Ils sont biaisés dans la mesure qu’il y a réellement peu de films produits pour des LGBT par des LGBT. En ce sens, les images vendues passent souvent par le prisme d’une hétéronormativité et ne reflètent pas réellement les sentiments et les vécus des LGBT. Même si cela tend à changer, assez souvent, dans cette optique “d’intégration”, on voit apparaitre beaucoup de personnages LGBTQ+ qui tiennent des rôles déraisonnables. Il est clair que beaucoup sont là pour satisfaire le quota des hétéros dans la vraie vie, ce qui rend parfois le visionnage exaspérant. On sent le côté forcé de la chose, ce quota de représentation, imposé ,empêche aux œuvres de respirer, d’être ce qu’elles sont.
“Je ne cautionne pas l’idée des remakes des classiques de notre enfance (films marvel et Disney) avec les couleurs de l’arc-en-ciel, je trouve cela ridicule, c’est du gâchis et cela prouve justement le côté forcé, parfois, de cette représentation. Peter Parker a toujours été hétéro, pourquoi doit-il devenir gay ou trans par exemple”? se dit une personne de la communauté qui ne soutient littéralement pas le côté forcé de la représentation cinématographique des LGBT.
Les LGBT devraient plus s’engager à produire leurs films ou, mieux encore, à intégrer de plus en plus les productions car qui de mieux placer pourraient raconter leur histoire qu’eux mêmes ?